L'Île ... d'Orléans
Le 50e de mon frère a été une occasion de retrouvailles, de souvenirs, de plaisir, de partage, de mots doux.
Ce dimanche, l'île nous a ouvert ses bras alors qu'un brouillard flottait sur le fleuve. C'était magnifique; cette rencontre par une journée pluvieuse a démarré de façon poétique.
Beaucoup d'émotions ont plu cette journée dans l'espace Félix-Leclerc; les nuages étaient remplis, ils ont versé une fine pluie. Ça et là, nous avons vu des inondations, un peu comme toutes ces émotions contenues au fil des années et qui débordent tout à coup.
La fête s'est déroulée autour de la musique. De Félix à Jean-Pierre Ferland, en passant par Harmonium, Beau Dommage, crochet vers Le Chant de la liberté... l'adolescence en reminiscences dans l'île.
Et il m'a semblé que mon père s'était enfui quelque temps du ciel pour venir nous observer. À côté de Félix Leclerc, dans les champs mouillés, entre les oies blanches, les nefs et les maisons de bois. Puis, ils nous ont quitté sur le pont, ont plongé dans les chutes Montmorency qui éclaboussaient majestueusement cette journée-là. Partis, comme les oies...
Ce sont ces mots de Jean-Pierre Ferland qui sont sortis de ma bouche en cette journée :
De temps en temps un copain
De temps en temps un ami
Dans ma vie
Mon frère
Qui revient quelquefois
Séjourner dans ma tête
Qui me prend par la main
Quand j'en ai besoin
Mon frère...
P.S. : Si vous avez les paroles complètes de cette chanson, je vous saurais gré de me les acheminer. Merci !
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