Dimanche
7 h, dimanche, je suis au parc, avant que les promeneurs, avec toutous ou enfants, ne l'envahissent. Les matins m'appartiennent, dans la solitude et le silence.
La paix n'est tout compte fait constituée de choses accessibles. Et c'est parfois dans ce silence matinal qu'un moment d'éternité est vécu en une fraction de seconde. Une tranquillité qui passe, fugace, un moment d'apesanteur, un moment pendant lequel le corps devient léger, l'esprit, dégagé, que le moment de l'instant est capté comme l'instantané d'une photo, sans préoccupations, sans angoisse d'aucune sorte.
Un moment de grâce rare pendant lequel je ne suis pas obligée d'obéir à quelconque convention.
2:
Peut être, un jour, nous pourrons partager un promenade de matin de dimanche, là ou ici. Tu m'as prise avec toi, cette fois-ci avec tes mots.
Merci Julie ! Une promenade matinale me fait vivre. Je serais heureuse de partager ce moment avec une autre âme méditatrice.
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