Zocalo
Le 12 juillet, nous sommes descendus à l'aéroport Benito Juarez, et le taxi a dû faire un détour pour nous laisser au Zocalo, en raison d'une manifestation en faveur du recomptage des votes de l'élection du 2 juillet, ou se sont affrontés le PRD et le PAN.
Le taxi en fait doit nous laisser à la Casa de Azulejos; bonne occasion pour découvrir le café Sanborn, après avoir admiré la céramique bleue sur les murs de l'édifice, pièces artisanales qui proviennent d'Asie.
Nous enfilons ensuite 5 de Mayo, jusqu'à Isabel la Catholica; là nous attend un personnel très attentionné. La plafond de la chambre s'élève à environ 15 pieds; on se croirait à l'époque coloniale, dans cet hôtel qui ressemble à un couvent de religieuses. Autour de l'hôtel, c'est plein de vie: comptoirs offrant gomme à mâcher, journaux, cigarettes, revues... qui côtoient des comptoirs d'ou se dégage l'odeur des tortillas. Et là, un homme vend les délicieuses pâtisseries du matin, que l'on déguste avec un cafe con leche. C'est la vraie ville.
Je ne savais pas encore la découverte que j'allais faire au Palacio nacional. Cet après-midi là, j'ai traversé le Zocalo et s'est révélé à moi le Diego Rivera connu par le biais du film sur Frida Kahlo, justement ou injustement. La gigantesque fresque du Palacio nacional, celle que tous les touristes vont admirer au Zocalo raconte l'histoire du Mexique, illustre ses personnages marquants, de la période précolombienne jusqu'à la Reforma.
C'est mon premier coup de foudre, première journée à Mexico, celui avec Diego Rivera.
Le voyage, c'est le voyage hors de soi et en soi, à la fois. Deux quêtes indissociables. Ce qui me touche me révèle à moi-même.
1:
Hey! How was your trip to Mexico city, did you like it? don't try to be in oaxaca the federal goverment it's trying one bloody night against people who only wants justice, be careful, take care.
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